Ce n’est pas en créant des embouteillages que la pollution disparaitra bien au contraire. Le cyclisme est autorisé sur toutes les voies en région Parisienne (hors rues piétonnes, autoroutes, périphérique et éventuellement lors d’arrêté d’instances autorisées). Alors privatiser des surfaces délimitées, bornées, interdites aux autres moyens de locomotion est contraindre les véhicules motorisés à s’entasser sur le peu de voies qui restent, créant des bouchons énormes, mais également des reports d’itinéraires proposés par les applications GSM qui dispersent les flux vers d’autres cheminements en démultipliant les émanations.

D’autre part, les nouveaux cyclistes sont dépourvus d’assurance, ne sont pas immatriculés et pour certains n’ont qu’une vague idée du code de la route. Les piétons ont peur des plus extrémistes capables pour gagner quelques secondes de rouler sur les trottoirs, ne respectant personne ….. de vrais dangers publics.
NOUS REFUSONS LES RER V ET DEMANDONS LA SUPPRESSION DES EXPERIENCES « TEMPORAIRES » EN COURS
Produire un modèle vertueux en s’imaginant qu’en construisant des « RER V » sans autres interlocuteurs que les associations de cyclistes qui vous feront croire à dessein que seul le vélo est solution et ce sans autres études sérieuses. Tout cela en dépensant des millions procède de la doctrine, de la forfaiture, de financements inadéquats à fonds perdus. D’autant qu’au terme du confinement les reports modales transports en commun, vélos ou voitures ne sont pas encore clairs.
Avez-vous fait des simulations ?
Depuis la sortie du premier confinement et malgré les subventions à la réparation de cycles, les primes à l’acquisition de « vélos électriques », la construction sous ordres, la part modale du vélo est passée de 3% à 4%. Dans une entreprise bien gérée les investisseurs appelleraient à la démission des dirigeants au motif de retours sur investissements ridicules.
Prenez-vous votre mandature pour un jeu ou vous êtes autorisée a dépenser les deniers publiques au grès des caprices de ces Lobbys bien organisés, dont certains membres influents sont vos salariés. N’y aurait-il pas là conflit d’intérêts, dumping. Des millions d’euros qui seraient mieux engagés à disposition de plus d’urgence sociale.
N’actionnez pas une stratégie qui vise a dresser les citoyens les uns contre les autres.